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Les évènements se precipitent

Pourquoi les désastres, pourquoi la guerre et le bouleversement des conditions climatiques, l’aspect social et les humains déboussolés et pourquoi tant d’empressement à faire des « réformes » qui selon moi n’en sont pas ? Les réponses sont multiples, mais il y en a au moins une qui émerge : placer l’attention sur les problèmes insolvables évite leurs solutions qui est : l’Unité entre l’homme et la Nature Universelle. 

Le monde est en guerre…pourquoi ? Car le mental humain est éduqué à la séparation, à une mémoire commune, divisée entre création et évolution. D’un côté la théologie selon laquelle « un bon dieu » chasse Adam et Eve du paradis et d’autre part, des théories comme celle du Big-Bang qui expulsent l’homme, « unique » observateur de l’univers, du même univers.

Ce qui est commun aux deux visions c’est un « dieu unique » vénéré par tous : il est le « temps linéaire » qui sert à calculer tant les trajectoires des projectiles de l’armement, que les orbites des planètes et jusqu’à l’évolution cosmique et biologique. Ce «dieu unique» domine l’histoire humaine, fait croître la dette et la misère de tant d’individus, les profits et les privilèges de la minorité qui contrôle le monde de la finance, la politique et le culte de ce «dieu unique». Le fait est que ce «dieu unique» n’existe pas dans la nature à l’état naturel, mais désormais tout le monde y croit et le pouvoir mondial le rend réel, en cultivant un «savoir» contre… nature !

La Vie se régénère en peu de secondes, le changement climatique est imprévisible et les mutations en cours sont sans précédents par leur ampleur et touchent tout le monde.

Le risque est que d’aucun mettent en doute un « savoir » qui est l’arme la plus efficace et la plus durable du pouvoir. Ce dernier se dépêche afin de garantir le contrôle des peuples, des média, d’augmenter la peur d’un «ennemi potentiel » et par là de réaffirmer la «nécessité» de son activité la plus lucrative : la production et la vente d’armes. 

Au delà de cette illusion du temps linéaire sur terre, une autre illusion : celle de l’Espace « vide » dans le ciel. En Juillet 2014, les techniciens de la NASA, déclarent que la sonde Voyager 1 n’aurait pas encore quitté le système solaire, comme on l’avait déclaré de manière triomphante l’été dernier dans la presse. 

Avec une autre sonde (IBEX) les techniciens avaient découverts la nature de la sphère magnétique solaire – l’héliosphère – dans laquelle le système solaire est plongé et donc nous sommes tous plongés. Ses « confins » se comporteraient comme des miroirs du vent solaire. Qui a t’il au delà de cette sphère ? Probablement rien ; l’héliosphère pourrait être une « caverne platonicienne » dont les « parois » – ces espaces apparemment vides, ou miroirs, – reflètent les ombres, c’est à dire des images en 3D, des hologrammes. Cette hypothèse dérange les esprits. Je l’ai expliqué dans mon livre intitulé « Petit Soleil ». 

La lune est un hologramme ? Et alors les marées, ses influences sur la terre ?

Vous voulez voir un hologramme ? Regardez vous dans un miroir ! Le corps est un hologramme, car le tout (holos) se retrouve dans chaque élément du Tout. L’ADN de notre organisme dans son entièreté se répète à l’identique dans chacune de nos cellules. Ceci n’exclut pas que nous n’ayons pas un poids, des relations et des influences avec l’environnement qui nous entoure. Le lien principal entre la terre et la lune n’est pas la gravité, mais la rotation (la preuve on ne voit jamais qu’une seule face de la lune). L’Univers observé est un hologramme, une matrix ou une réalité virtuelle. Je ne vous invite pas à me croire, mais seulement à vérifier la validité des idées dominantes : la vacuité de l’espace, la linéarité du temps, le solidité de la matière et les conséquences destructrices de ces mêmes idées.

Les évènements politiques se précipitent, car les phénomènes naturels révèlent la fausseté des idées dominantes à une vitesse croissante. Le pouvoir, qui jusqu’il y a quelques mois avait endossé le masque du « sauveur » avait récolté le consensus des masses, et aujourd’hui se met dans l’urgence d’établir des normes pour mieux contrôler les peuples. Il n’ y parviendra pas, mais la confusion des esprits de ceux qui croient encore aux paroles rassurantes des leaders vainqueurs, accroit les difficultés tout le long de ce chemin vers la liberté.

Tout le monde croit en la dette qui croît avec le temps et personne ne sait ce qu’est le temps ! 

A la fausse linéarité du temps est lié le crédo général des ressources énergétiques limitées, motif pour lequel « l’homme doit travailler à la sueur de son front » et/ou combattre son semblable pour s’approprier les diverses ressources qui sont toujours soit disant « rares ». La Nature révèle Son intelligence, démontrant que les limites énergétiques n’existent pas et réfutant ainsi le « savoir » aliéné et aliénant qui a dominé la tragique histoire de ce monde. Tous les organismes utilisent de manière naturelle l’énergie du « vide » que la science aujourd’hui reconnaît sans savoir comment l’utiliser.

L’innovation, la créativité et l’intelligence collective démontre aussi que les limites de l’homme n’existent pas ; elles ont été inventées par les religions qui, avec la prétention de représenter un « dieu éternel », ont contrôlé la sexualité de l’humanité, la rendant frustrante et non épanouissante. La Nature se régénère complétement avec la sexualité, elle n’est pas sujette à la dégradation et à l’usure mécanique.

Les évènements se précipitent car les temps dans la nature accélèrent et détrônent le « dieu unique » de son piédestal éternel sur lequel l’avait placé la mémoire commune. Faudra t’il nécessairement l’effacer ou la « reseter » comme on dit dans le jargon informatique ? Ceux qui veulent, peuvent le faire, mais ils devront aussi reconnaître de ne pas savoir ce qu’est le temps, de se réveiller de l’oubli de notre propre mental qui a tendance à croire en des « certitudes »….jamais vérifiées.

Giuliana Conforto le 30 juillet 2014

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