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Le retour de l’éther et de l’harmonie

L’Apocalypse est la révélation de la “tyrannie” qui a réduit les humains en esclavage. Telle “tyrannie” est notre crédo aux limites des ressources, promu par un “savoir” qui est fonctionnel au pouvoir et démenti par les évènements en cours. Une énergie noire immense est en train de jaillir du “vide” quantique…

matière_grise_blancheBien que l’énergie noire constitue environ 70 pour cent de l’univers et que nos cellules l’utilisent régulièrement, les scientifiques ne savent pas ce que c’est. Ils savent qu’elle jaillit du “vide”, provocant des effets observables. Certains ont observé ces derniers aussi lors des éclipses.

universe_selon_nos_observationUn exemple est donné par Maurice Allais, prix Nobel pour l’Economie, lequel, en 1954, a observé les mouvements d’une pendule de Foucault toutes les 14 minutes – pendants 30 jours et nuits consécutifs – dans son laboratoire à Paris. Ces jours-là, il y eut une éclipse solaire. Selon la physique connue, aucun effet ne devait se produire, mais pendant l’éclipse, la pendule fit un tour inattendu, une rotation antihoraire. Ce fait est connu comme effet Allais et alimente encore les débats. Ce tour inattendu était une inversion de la rotation terrestre (Foucault avait démontré que la pendule enregistre la rotation de la Terre). Selon Allais, c’était la preuve de l’anisotropie de l’espace. Les observations de l’effet Allais sont rares et plutôt contradictoires. L’annonce de la vérification de l’effet Allais par la NASA avant l’éclipse du 11 août 1999 attira l’attention des médias, tandis que les observations de l’éclipse solaire du 26 janvier 2009, en Ukraine et en Roumanie, séparées par 440 km, sont restées réservées aux spécialistes, car elles défient, sans doute, des convictions communes telles que la gravité et le temps linéaire.

Au contraire de ce que l’on croit, l’inversion temporelle ne se limite pas au conte de fée d’Alice aux Pays des Merveilles. C’est une technique utilisée depuis des décennies dans le domaine optique et maintenant aussi avec les ultrasons. L’inversion temporelle peut avoir également une signification humaine : c’est notre capacité à formuler et à réaliser des projets tout en défiant l’idée commune que seulement le passé est réel et que le futur dépend des institutions telles que les gouvernements, les églises et les banques.

De plus en plus d’êtres humains réalisent que le passé est un ensemble de mémoires que nous n’avons jamais vérifié en profondeur et que nous relions à théories et théologies, démenties toutefois par les évènements naturels en cours. Quasiment toutes les théories se basent sur un “seul dieu” – le temps linéairetandis que les théologies découlent  de la célèbre “séparation de la lumière des ténèbres” accomplie par “dieu” au commencent. Par contre, cette “séparation” advient aussi quand on choisit de n’observer que les effets observables et d’ignorer ceux obscurs. Les effets observables soutiennent le “savoir” orthodoxe alors que les “obscurs” suggèrent des “hérésies” comme, au fait, les inversions temporelles qui sont à mêmes inverser les spins nucléaires de nos corps. Et si elles étaient ce que nous ressentons comme intuitions, sensations ou prévisions?

De toute façon, la durée de notre jour est un effet de la rotation diurne, vers l’est,  de la surface terrestre. Une rotation qui change et que pourrait changer pendant les éclipses. Il faut aussi remarquer que la rotation est par rapport au “vide” qui, lui, est à l’arrêt selon le point de vue commun. Cependant, si on reconnaît la nature co-mouvante du “vide”, il y a une possibilité renversante : tout se meut et il se peut que les relations entre le “vide” et la surface de la Terre soient en train de changer.

Le Cœur cristallin de la Terre

Les astrophysiciens méconnaissent les causes des rotations diurnes des planètes. Les géophysiciens ont reconnu que la Terre est composée de différentes couches ayant chacune sa propre rotation et donc sa propre durée du jour. Les médecins relient la santé du corps humain à l’alignement de ses spins nucléaires et la physique constate  que tous les spins de l’univers ont la même unité de mesure ou des multiples entiers de cette unité. Le spin est une des propriétés des particules, au même titre que la charge électrique. Le spin donne une sensation de tourbillon, mais… Pourquoi tous les spins ont la même unité? Peut-être parce qu’ils ne sont pas des propriétés des particules et/ou antiparticules, comme on croit, mais plutôt des effets du vide quantique qui est comme une mer secouée par des vagues et des vortex doubles, centripètes et centrifuges, qui tournent à droite et à gauche et qui ont des valeurs discrètes. L’énergie du vide et l’énergie noire pourraient ne faire qu’un.

Si c’est le cas, il faut revoir de façon radicale notre conception de la matière et aussi notre culte pour le “dieu temps linéaire”. Ce “dieu”, qui règle les salaires et les profits et qui régit les histoires et les dettes croissantes, pourrait être une interprétation de nos yeux qui n’observent que les basses vitesses.

Etant donné que même les hautes vitesses existent, nous pouvons vérifier si l’ancienne séparation “divine” est plutôt une séparation humaine, concernant la scission entre ce que nous voyons et les émotions que nous ressentons. Nous sommes aussi à même de vérifier si le lien entre le “dieu temps linéaire” et la dette croissante (global debt clock) est un fait objectif ou une invention de peu de gens qui en ont bénéficié et qui conservent la distribution inégale de la richesse.

Ces vérifications pourraient conduire à une révélation historique, réalisée par ceux qui veulent un monde sage et juste pour tout un chacun, un signe de liberté par rapport aux institutions en profonde crise.

La vraie réalité est l’envers de ce que nous voyons…

A présent, il y a des évènements naturels sans précédent que les médias ne rapportent pas. Outre les tragédies et les massacres, il se passe également des “exercices” militaires massifs. Il semble que le monde se prépare pour une guerre totale ou pour subir une catastrophe globale. Si l’on observe les évènements avec attention, on peut comprendre qu’ils annoncent une surprise extraordinaire, évoquée depuis toujours : la fin des temps, à savoir le commencement de l’harmonie éternelle.

Au cours de toute l’histoire humaine, il y a toujours eu un “ennemi” à combattre ou à craindre. A présent, le changement climatique est considéré comme un danger global nécessitant des actions urgentes, d’après les récentes déclarations du président des Etats Unis. “Il faut une conversion écologique globale”, a affirmé le pape François, en rappelant l’utilisation de combustibles renouvelables, l’efficacité énergétique et une nouvelle alliance entre science et religion afin de  combattre le changement énergétique mené par l’homme. Et si ce changement était, en revanche, mené par l’univers ? Cela signifierait le retour de l’éther.

“L’éther ramènera l’harmonie dans le monde”, disait Aristote (384-322 av JC).

L’histoire de l’éther remonte à l’antiquité et a été acceptée telle quelle pendant des millénaires. En 1644, Descartes affirma que l’éther est composé de vortex au fond desquels il y a un corps céleste ou une étoile. De nombreux physiciens sont d’accord pour dire que le « vide » est une mer multidimensionnelle dont les vortex nous paraissent des particules et/ou des antiparticules, apparemment divisées, mais en fait unies par les mouvements de la mer. En 1887, une célèbre expérience « abolit » l’éther et, depuis lors, les académies ont éduqué des générations des physiciens à le considérer comme étant une ingénuité d’anciens philosophes. Certains avaient mis en lumière que seulement l’éther statique avait été banni et non pas celui fluide ou plutôt superfluide. Cependant, leurs thèses furent niées et ridiculisées, car elles impliquent des conséquences renversantes telles que l’antigravité, les vitesses superluminales et mêmes les inversions temporelles.

Maintenant, on passe de surprise en surprise : ce « vide », rempli d’énergie noire, est dans le ciel, sur Terre et même dans nos cellules. Les cellules gliales, qui constituent la matière blanche de notre cerveau, utilisent l’énergie noire, tandis que nos neurones, qui constituent la matière grise, ne l’utilisent pas. Tout en étant créative, belle et amitieuse, la matière grise a été “éduquée” au sacrifice et à la résignation et reléguée à un rôle servile, telle Cendrillon, obligée à obéir à sa « belle-mère » : une société cynique qui exploite ses efforts et l’oblige à s’endetter pour survivre. Una surprise époustouflante est que sa “chaussure” a été trouvée et elle est toute petite, comme dit le conte de fée.

Il s’agit de la matière blanche, composée de fines gaines myélinisées qui enveloppent les neurones, les isolent électriquement et règlent leurs signaux. Ces gaines constituent la « chaussure » qui ramène Cendrillon – notre matière grise à la résidence royale, à la liberté d’aimer et d’être aimée, indépendamment du “dieu” temps et des intérêts bancaires croissants. Cela n’est pas un conte de fée. C’est la capacité naturelle de notre matière blanche d’utiliser l’inépuisable énergie noire qui jaillit du “vide”. Cette énergie peut nous libérer de tous les liens, tels que la gravité, l’électromagnétisme et le champ nucléaire fort ; elle est sans doute seulement en contact avec la force “faible” qui crée les temps. Si nous utilisons de façon consciente les capacités de notre cerveau, nous pouvons  profiter de ressources illimitées ainsi que guérir du syndrome millénaire de la pénurie. La soi-disant “énergie noire” pourrait être le Principe Féminin qui contient le tout et le nourrit, la Pacha Mama des cultures andines, la Substance Mère dont tant de sages ont parlé, le Nun mentionné dans les anciens papyrus égyptiens. L’énergie noire, à savoir l’éther dynamique, pourrait aussi provoquer les mouvements de notre sang que nous ressentons comme éros et émotions ou déclencher des aperçus et des capacités créatives que les êtres humains ont toujours démontré. Nous pourrions enfin devenir conscient du rôle souverain de l’humanité et comprendre que le changement climatique n’est pas un danger à craindre, mais la révélation d’une prospérité générale à laquelle nous pouvons contribuer.

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La vraie Terre : l’Enfant géant

la gran manzana